Qu'on le choisisse ou le subisse, le travail définit nos existences.
Parce qu'il nous offre une place dans la société, aide à dépasser nos propres limites, mais aussi fournit à chacun un salaire à même de subvenir à ses besoins. Pourtant, le travail semble de moins en moins aligné avec l'évolution de nos sociétés occidentales : phénomènes de burn out, de bore out (syndromes d'épuisement professionnel), dénonciation des « jobs à la con », crainte d'être remplacé/e par un robot...
L'angoisse générée par le chômage et la retraite montre de plus que nous ne sommes pas prêts à éliminer dès aujourd'hui le travail de nos vies. Est-ce l'être humain qui déraille dans le système travail ?
Ou le travail qui peine à s'actualiser pour être en phase avec nos valeurs et/ou notre quête de sens ?